One day, one player oldies: David Aebischer

Mauricette Schnider

Nom : Aebischer

Prénom : David

Surnom : Abby

Date de naissance : 7 février 1978

Profession : entraîneur de gardiens de buts.

Dernier club : SCRJ Lakers.

Poste : gardien.

Ton numéro, et pourquoi l’avoir choisi : 1, c’est lui qui m’a choisi.

Ton meilleur souvenir sportif : soulever la Coupe Stanley.

Le pire : déchirure du ligament croisé.

Qu’est-ce qui te plaît le plus au hockey : la vitesse et la complexité du jeu.

Qu’est-ce que tu aimes le moins : pas beaucoup de week-end en famille durant l’hiver.

Ta plus grosse erreur pendant un match : à la fin d’un match de play-out perdu contre Langnau, j’ai traversé toute la patinoire pour aller assommer le jeune gardien de Langnau que j’avais trouvé un peu trop démonstratif. Pas mon meilleur moment de fair-play.

Ton point fort : rester posé dans des situations tendues (surtout hors glace).

Ton point faible : mauvais perdant.

Ton rituel d’avant-match : mettre les choses au même endroit (canne dans un coin), attacher le patin gauche en premier, sieste et un grand café americano.

Qu’est-ce que le hockey a de plus que les autres sports n’ont pas : un puck.

Quel était on rêve sportif : de jouer en NHL.

Une anecdote de vestiaire : game 6 de la finale de Coupe Stanley, pendant la deuxième pause, Raymond Bourque s’engage à marquer un but et amener la série au Colorado pour un 7ème match. Il l’a fait et nous avons gagné la Coupe à la maison.

Personnalité que tu admires : Banksy  (artiste d’art urbain). 

Cite-moi un club : Fribourg Gottéron, toute une jeunesse heureuse grâce au hockey et aux nombreux coéquipiers qui ont partagé la même passion.

Un entraîneur : François Allaire. J’ai eu de nombreux entraîneurs qui m’ont impressionné mais en tant que gardien.

Un gardien : Patrick Roy, mon idole en grandissant, mon coéquipier pendant 4 ans et l’honneur de lui succéder à l’Avalanche lorsqu’il a raccroché ses patins.

Un joueur : Joe Sakic, la classe sur et hors de la glace.

Un arbitre : Brent Reiber, pas souvent sifflé en ma faveur.

La patinoire que tu aimes le plus : Le Centre Bell, Montréal, pour les meilleurs hotdog de la ligue… l’ambiance unique et tout le reste.

Le moins : l’ancienne patinoire de Langnau. Il faisait très froid et une seule toilette à partager entre joueurs et arbitres.

Décris-toi en trois mots : loyal, ponctuel, exigeant.

A qui veux-tu que j’envoie ce questionnaire : Cristobal Huet.

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