Nom : Bulgheroni
Prénom : Aron
Surnom : Bülga
Date de naissance : 30 mars 1997.
Profession : comptable et étudiant.
Club actuel : HC Blenio / 3e ligue.
Club précédent : Red Lions Reinach / 1ère ligue.
Poste : défenseur.
Ton numéro, et pourquoi l’avoir choisi : le 17 est le premier numéro que j’ai porté lors de mon premier match de hockey, à l’âge de 6 ans, et à partir de là, j’ai toujours essayé de le conserver quand je le pouvais.
Ton meilleur souvenir sportif : champion suisse de 1ère ligue et la promotion en LNB (Swiss League) avec Biasca. C’était aussi très spécial parce que je suis de Biasca.
Le pire : je n’en ai pas un en particulier, à part celui d’avoir quitté les play-off à plusieurs reprises alors que nous étions une équipe forte qui aurait pu aspirer à plus.
Qu’est-ce qui te plaît le plus au hockey : adrénaline et jeu physique pendant le match.
Qu’est-ce que tu aimes le moins : préparation physique pendant l’été.
Ta plus grosse erreur pendant un match : autogoal, j’en ai fait quelques-uns dans ma carrière… haha.
Ton point fort : jeu défensif, box play.
Ton point faible : le shoot.
Ton rituel d’avant-match : je fais toujours les mêmes exercices d’échauffement et je bois une goutte de Carmol avant chaque tiers.
Qu’est-ce que le hockey a de plus que les autres sports n’ont pas : rapidité d’exécution, jeu physique.
Ton rêve sportif : j’aurais aimé gagner un autre titre mais malheureusement ce n’était pas possible…
Personnalité que tu admires le plus : Fabian Cancellara.
Une anecdote : je n’en ai pas un en particulier à raconter, disons simplement que dans toutes les équipes où je suis allé je me suis toujours bien entendu avec les autres et nous nous sommes toujours amusés ensemble, surtout en dehors de la glace.
Cite-moi un club : HC Ambrì Piotta.
Un entraîneur : Luca Cereda.
Un gardien : Giacomo Beltrametti.
Un joueur : Noele Trisconi.
Un arbitre : Luca Boverio.
La patinoire que tu aimes le plus : la Valascia d’Ambrì a toujours été comme une seconde maison pour moi. Wetzikon, j’ai toujours aimé jouer dans cette patinoire, il y avait toujours beaucoup de monde pour regarder. Et aussi celle de Biasca, ma ville natale, je garde de bons souvenirs de cette patinoire.
Le moins : les Vernets à Genève : mauvais souvenirs d’aller jouer à Genève quand j’étais à Ambrì, de très longs trajets qui n’en finissaient pas. On rentrait à 4h du matin et on devait aller à l’école le lendemain. Aussi Romanshorn : je n’ai jamais aimé jouer là-bas, je jouais toujours mal et je me souviens que je perdais presque toujours.
Décris-toi en trois mots : jovial, positif, déterminé.
A qui veux-tu que j’envoie ce questionnaire : Matteo Torino.
