Nom : Bonnet
Prénom : Jérôme
Âge : 33 ans (lors de l’interview).
Ta profession : dans les assurances et en passe-temps un peu de consulting avec MySports.
Ta fonction lors des matchs : c’est soit du consulting, commenter durant les pauses, soit du co-commentaire, réagir en direct pendant le match.
Depuis combien d’années fais-tu ce travail : j’ai commencé à faire des petites interventions en vers 2018, 2019.
Qu’est-ce qui te plaît dans ce job : c’est la passion du sport. J’en ai quand même vécu pendant plus de 10 ans, j’en fais depuis que je suis haut comme trois pommes et du coup, garder le contact avec ce milieu-là, c’est quelque chose qui est génial.
Depuis combien d’années baignes-tu dans le monde du hockey : je suis né au centre-ville de Lausanne et j’ai grandi à côté de Montchoisi. Autant te dire que depuis qu’on m’a acheté une paire de patins, tout petit, je passais mes journées à la patinoire après l’école, les samedis quand il pleuvait, quasiment depuis toujours.
Ton club favori : ahahah c’est compliqué à répondre! Mais franchement, en toute honnêteté, j’ai des affinités par le fait d’avoir joué à certains endroits pendant plusieurs années, mais en même temps, ce qui me plaît le plus, c’est le jeu en lui-même. Après avoir fait autant de temps dans ce milieu, on a quasiment des amis dans chaque équipe, donc si on vient voir un match ce n’est pas pour soutenir une équipe plus qu’une autre, c’est simplement pour avoir le plaisir des yeux et les émotions.
Ton meilleur souvenir : il y a plein des bons souvenirs, comment en sélectionner un?
Il y a eu plein de choses: déjà d’avoir soulever la Coupe deux fois, il y a eu une promotion d’Elite B en Elite A avec Genève, une promotion de 1ère ligue en ligue B avec anciennement Martigny, il y a eu deux titres avec Lausanne en Ligue B, une finale en Ligue A aussi, en 2008 avec Genève. C’est des moments qui restent gravés.
Je peux t’en citer un autre également, c’est ma première apparition sur une feuille de match en Ligue A quand j’avais 16 ans. Chris McSorley était le grand chef à l’époque à Genève et pour me féliciter de ma saison il m’avait pris avec la première équipe lors des play-off à Berne. Autant te dire que de me retrouver devant ce mur de supporters à 16 ans, même si je n’ai pas griffé la glace pendant le match, mais ne serait-ce que l’échauffement, c’est quelque chose qui reste gravé.
As-tu un membre de ta famille qui fait du hockey : oui, mon frère Julien, qui a fait à peu près le même nombre d’années dans le hockey. On a joué ensemble, l’un contre l’autre, on a joué dans des ligues différentes. Donc oui, on est tombé dedans les deux très jeunes. Je faisais tout ce que mon frère faisait en étant gamin, c’était mon exemple. Il a commencé le hockey et l’année suivante je l’ai suivi.
As-tu joué toi-même : alors oui… (rires), passablement, et encore maintenant. C’est pas professionnel mais ça reste de la compétition, c’est pour le plaisir.