Interview de Valentin Pilet, défenseur du HC Ajoie, National League
Ton meilleur souvenir sportif : gagner la Coupe suisse avec Ajoie.
Le pire : la défaite en demi-finale avec les juniors.
Qu’est-ce qui te plaît le plus au hockey : l’esprit d’équipe, la compétition, le jeu physique.
Qu’est-ce que tu aimes le moins : perdre.
Un pays : le Costa Rica.
Ton incroyable talent : faire de bon Gin.
Ta qualité : bon public, je rigole pour rien.
Ton défaut : mon impatience.
Le dernier rêve que tu as fait : vous me prendriez pour un fou.
Qu’est-ce qui te fait rire : tout ! Mais particulièrement mes amis.
Qu’est-ce qui t’énerve : le mensonge.
La qualité que tu apprécies chez les autres : l’humour.
Ton « tue l’amour » : la jalousie possessive.
Qu’est-ce que ta compagne fait mieux que toi : ma qui ?
Le plat que tu cuisines le mieux : le chili con carne.
Ta plus grosse bêtise quand tu étais enfant : je ne peux pas dire, on me recherche toujours.
Ton plus grand regret : ne pas avoir appris à parler correctement le suisse-allemand.
Dans le vestiaire, qui est Le plus bavard : Alain Birbaum.
Le dernier sous la douche : Reto Schmutz.
Le plus calme : Damiano Ciaccio.
Le meilleur cuisinier : Bastien Pouilly.
Le plus mauvais chanteur : Matthieu Vouillamoz
Une anecdote de vestiaire : ce qui se passe dans le vestiaire reste dans le vestiaire.
Le hockey, ça aide avec les filles ? nous aide à nous faire recaler, oui.
A quoi penses-tu sur le banc des pénalités : je prie pour qu’on n’encaisse pas.
Si tu avais un super pouvoir : parler toutes les langues du monde.
Pour quelles raisons aimerais-tu être une femme : pouvoir faire deux choses en même temps.
Si tu avais la possibilité de passer du temps avec une célébrité, avec qui et que ferais-tu : Roger Federer, un golf.
Facebook, Instagram ou Twitter : Instagram.
Tes hobbies : surf, skate, guitare, lire.
Si tu étais le héros d’un film, qui serais-tu : Brice de Nice.
Ta chanson : Innerbloom (Rufus Du Sol).
Première chose que tu fais le matin : je dis à mes colocs de se taire.
La qualité romande que les suisses-allemands n’ont pas : un goût musical.
Une chose que tes parents ne savent pas sur toi : c’est mieux qu’ils ne le sachent toujours pas.
Si tu étais riche et célèbre, que changerais-tu dans ta vie : j’achèterais un bar avec mes amis.
Trois objets dont tu ne peux pas te passer : mon skate, mes colliers, mes magnifiques crocs que tout le monde déteste.
Dragueur ou dragué : plutôt dragué.
Cite-moi une chose que tu ne feras jamais : ne jamais dire jamais.
Et celle que tu rêves de faire : faire le tour du monde.
Quelle est la chose la plus folle que tu aies faite par amour : je ne suis pas fou, enfin je crois.
A quelle émission de télé aimerais-tu participer : Pékin Express.
Le plus beau cadeau qu’on puisse te faire : un chimpanzé.
Qu’est-ce que tu ne sais pas faire mais que tu aimerais apprendre : marquer des goals .
Qu’est-ce que le coronavirus a changé dans ta vie : ma vie sociale.
Une citation : « La vie est un risque. Si tu n’as pas risqué, tu n’as pas vécu. C’est ce qui donne… un goût de champagne. » Soeur Emmanuelle.
Ton mot de la fin : bonne saison, au plaisir de te recroiser au bord de la glace.
A quel joueur veux-tu que j’envoie ce questionnaire, et pose-lui la question de ton choix : Melvin Merola: “Qui est, selon toi, le plus grand acteur de tous les temps ?”
Et la question qu’Igor Jelovac t’a posée : “Parce qu’en fait toi, c’est quoi à toi, ton type à toi de femme à toi ?” “- Ba vivante ?!“