L’inconnu du match SL HC Ajoie – SC Langenthal (12.04.2021)


Nom : Pietronigro

Prénom : David

Âge : 39 ans (au moment de l’interview)

Ta profession : journaliste sportif.

Ta fonction lors des matchs : commentateur et présentateur.

Depuis combien d’années fais-tu ce travail : depuis 2001 comme freelance dans la presse écrite, un peu de radio depuis 2009 et dans le monde de la télé depuis 2014. J’ai été également à Téléclub et à RJB.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce job : suivre les matchs au plus près de la glace et pouvoir transmettre les émotions aux gens qui sont à la maison et qui n’ont pas la possibilité de pouvoir assister au match. En temps normal, et encore plus en temps de covid.

Depuis combien d’années baignes-tu dans le monde du hockey : depuis plus de 20 ans. Avant de pouvoir en faire mon métier j’ai été dans les différentes patinoires comme supporter.

Ton club favori : pas vraiment de club favori mais j’ai grandi ici avec le HC Ajoie. J’habitais pas si loin que ça et c’était plus facile pour suivre leur épopée de l’époque en ligue B.

Ton meilleur souvenir : il y en a deux, un comme journaliste: tous les matchs décisifs des finales de play-off que j’ai eu le plaisir de commenter sont gravés en moi. Mais l’émission vécue en direct pour la promotion du HC Ajoie en National League reste un moment fort. Toute la journée, on se demandait si les dirigeants allaient officialiser la montée. Le HC Ajoie a ensuite livré la marchandise sur la glace et la belle histoire du Petit Poucet qui arrive en National League a été rendue possible.
Et en tant que supporter, c’est la finale de la Coupe suisse d’Ajoie à Lausanne. J’étais dans les tribunes et j’ai participé à cet engouement populaire. On se laisse prendre au jeu, c’était fou!

As-tu un membre de ta famille qui fait du hockey : oui, j’ai mon petit filleul de six ans qui a commencé le hockey. Ca sera un futur crack du HC Ajoie ou du HC Bienne s’il continue comme ça 😉.

As-tu joué toi-même : non, je n’ai jamais fait de hockey dans un club professionnel, par contre j’ai beaucoup joué de la canne dans la rue devant mon garage. On organisait des battle entre quartiers, mais je n’ai jamais franchi le cap de chausser des patins sur la glace.