LNA : Fabiano Santoro rentre « à la maison »

Mauricette Schnider
Fabiano Santoro aux côtés de Roy Bay, son nouveau coéquipier et gardien de Sayaluca

Parti de son Tessin natal il y a huit ans pour ses études à Fribourg, le joueur du SHC Givisiez Fabiano Santoro retourne dans son canton d’origine et s’engage dans son ancienne équipe de Sayaluca Lugano (LNA).

Fabiano, parle-nous de ta décision de rentrer au Tessin :

Je suis parti pour les études il y a huit ans. Après quelques années à l’université, j’ai arrêté et trouvé un travail qui est encore mon poste actuel. Je retourne au Tessin pour des raisons professionnelles, amoureuses et familiales.
Je vis une magnifique histoire d’amour depuis six mois, j’ai reçu une occasion professionnelle que je ne pouvais pas refuser et je pourrai me rapprocher de ma famille et de mes amis.


Pourquoi avoir choisi Sayaluca ?

Sayaluca est une grande famille, la même que j’avais trouvée à Givisiez. Je ne peux pas dire ce qu’ils ont de plus, on verra dans plusieurs mois, mais c’est sûrement une grande bande de malades et je me vois bien avec eux. Un joli groupe de copains très proches et une grande mentalité de gagnants aussi. Je suis hyper motivé c est sûr. Je me réjouis de pouvoir m’installer à nouveau au Tessin et relever ces nouveaux défis.

Je me sens vraiment bien et je me réjouis de pouvoir remettre le maillot de Sayaluca. C est mon club formateur, quand c’était encore Cadempino et par la suite Lugano. On n’avait pas de salle.
J’ai toujours joué avec eux. J’ai grandi avec plusieurs joueurs de ce club, à partir des Minis jusqu’en actifs, surtout en dehors du terrain. Je connais très bien tout le monde et je suis vraiment impatient de pouvoir commencer. Plusieurs d’entre eux ont toujours été des amis très proches, on a vécu énormément de choses ensemble et toujours continué à se voir régulièrement sans jamais perdre le contact.


Mais d’un autre côté, Fribourg va sûrement laisser un vide. À Givisiez j’ai passé des moments magnifiques, j’ai pu connaitre des gens qui font aujourd’hui partie de mon cercle d’amis les plus proches. Des amis qui vont clairement me manquer. On ne pourra plus se voir quand on veut, ça sera la partie la plus difficile, mais on aura toujours les contacts et c est l’essentiel.
Givisiez et la famille que j’y ai trouvés auront toujours une place dans mon cœur, mais c’était le moment de partir. Certaines personnes vont me manquer terriblement, ce sera ça le plus dur au début.

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