Nom : Cattin
Prénom : Patrick
Âge : 59 ans.
Ta profession : employé de commerce.
Ta fonction lors des matchs : statisticien.
Depuis combien d’années fais-tu ce travail : depuis 2014.
Qu’est-ce qui te plaît dans ce job : pour commencer, la fonction même de statisticien, de pouvoir suivre l’équipe, les matchs, de pouvoir vivre le hockey qui est une passion que j’ai depuis tout petit. Ce qui me plaît c’est d’être à l’intérieur, proche de l’équipe, de l’entraîneur, du staff. C’est tout un ensemble.
Depuis combien d’années baignes-tu dans le monde du hockey : mon père Pierre a pratiqué le hockey pendant longtemps. C’était l’un des précurseurs à Porrentruy et je l’ai toujours suivi.
J’ai commencé au HC Ajoie en tant que journaliste pour Puckmag et par la suite on a demandé, Hervé Voisard et moi-même à intégrer la communication quand André Donzé a quitté le HCA. On ne voulait pas le remplacer mais faire partie de la comm pour le club. Tout s’est ensuite enchaîné.
Ton club favori : le HC Ajoie, ça c’est sûr !
Ton meilleur souvenir : le 2 février 2020 et lors du titre de Champion suisse en 2016. Le 2 février est une date extraordinaire, j’en ai presque pleuré tellement c’était fantastique. Mais je n’oublie pas ce titre de 2016, à la maison, avec le public qui était incroyable et toute l’ambiance qui a suivi. Par la force des choses on aurait tendance à l’oublier, ce qui est dommage.
As-tu un membre de ta famille qui fait du hockey : mon papa oui, qui aura suivi le HCA jusqu’au dernier moment. Il le regardait à la télé, il louait les matchs.
As-tu joué toi-même : oui j’ai joué, mais à très bas niveau, à Delémont, dans les années 1975 à 1985. On allait s’entraîner à Moutier à 6h du matin parce qu’il n’y avait pas de patinoire à Delémont. J’en ai fait également un peu avec le HC Courtételle, durant une saison, je crois en 3ème ligue, avec notamment les frères Gygax, Jacques et Walter. Mais ça reste à un niveau humble, pour le plaisir, parce que je ne suis pas un grand hockeyeur.
J’ai arrêté par la suite parce que j’ai recommencé le foot avec les Vétérans à Delémont pendant quelques années et j’ai tout stoppé quand je me suis engagé avec le HC Ajoie parce que je n’avais plus le temps. Les entraînements avaient lieu le dimanche matin à 8h et c’était difficilement compatible avec les déplacements du HCA.
